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    Bonjour .

     

    87 idées de Bonjour lundi | bonjour lundi, lundi, bon lundi

    Aujourd'hui nous allons prendre de la hauteur pour nous intéresser au phare de la Caravelle . 

    La Presqu'île de la Caravelle, un réservoir de la biodiversité. – Dom  Loisirs et Culture

    Situé à La Trinité, en Martinique, le phare de La Caravelle prend place au bout de la presqu'île de La Caravelle, au cœur d'une réserve naturelle du Parc Naturel Régional de la Martinique. Culminant à plus de 160 mètres d'altitude, au sommet d'un pic basaltique, il est considéré comme le plus haut phare de la France.

    Mis en service dans la seconde moitié du XIXe siècle, en 1861, et automatisé dans les années 1970, il se présente sous la forme d'une petite tourelle carrée en pierre et moellon peinte en brique rouge. Plus ancien des quatre phares de Martinique, il permet d'apercevoir la Dominique par temps clair. Toujours utilisé, le phare de La Caravelle bénéficie aujourd'hui d'une inscription aux Monuments Historiques.

     

     Le phare de la Caravelle

     Histoire Construction

     Architecture:

    Hauteur 14 m Élévation 162,55 m Équipement Portée 22,5 milles nautiques (42 km) Feux 3 éclats blancs/ Le phare de la Caravelle est un phare situé pointe de la Caravelle, dans la commune de La Trinité sur la côte est de la Martinique. Il se situe au bout de la presqu'île de la Caravelle, désormais réserve naturelle dépendant du parc naturel régional de la Martinique.

    Construit au sommet d'un pic basaltique il culmine à 162,55 m au dessus de la mer, ce qui en fait le plus haut phare de France malgré sa taille modeste.

    KAYKARAYIB KAY DANTAN LE PHARE DE LA CARAVELLE - YouTube

     

    Il est mis en service en 1862 et n’est plus gardé depuis son automatisation en 1970.

    Historique:

    Le phare est construit de 1860 à 1861 sous Napoléon III. De 1862 jusqu'en 1970, il fonctionne à la vapeur de pétrole.

    En 1970, le phare fonctionne au gaz, puis de 1982 à 1992, il est alimenté en électricité grâce à l'énergie éolienne.

    presqu'île de la caravelle – STREETS AND ART AROUND THE WORLD

    En 1992, un groupe électrogène est installé puis en 1996, des panneaux solaires le remplacent pour subvenir au fonctionnement de la lanterne et de la station météorologique.

    L'histoire des premiers gardiens du phare est racontée dans l'ancienne maison dans laquelle ils logeaient en contrebas ; ceux-ci travaillaient par équipe de 2 et restaient isolés du reste du monde pendant 6 jours pour 3 jours de repos. On trouve également des informations sur le fonctionnement du phare. Le phare est automatisé depuis 1970, sous le contrôle du service des phares et balises de Fort-de-France. Il est inscrit monument historique par arrêté du 16 décembre 2013.

    Description :

    La lanterne du phare sur la presqu'île de la Caravelle.

    C'est une petite tourelle carrée en pierre et moellon peinte en rouge brique supportant une lanterne blanche. « La combinaison de la pierre de taille traditionnelle et de la structure métallique lui confère une place unique parmi les phares de Martinique »

    Il est le plus ancien des quatre phares encore en activité à la Martinique . 

     

    LE CHATEAU DUBUC | Découvrez la Martinique, ses Incontournables et  organisez votre séjour : hébergements, restaurants, activités, événements,  patrimoine

    Il se trouve à proximité des ruines du château Dubuc, sur le plus haut sommet de la presqu’île de la Caravelle. On trouve d'ailleurs à une quinzaine de mètres au Nord Ouest du phare une table d'orientation permettant d'admirer un panorama à 360° : les deux baies (du Trésor et du Galion), le village de Tartane,

    Martinique, Le Pittoresque Village De Tartane à West Indies Banque D'Images  Et Photos Libres De Droits. Image 51227558.

    une grande partie de la réserve naturelle de La Caravelle et une vue globale sur l'ensemble de l'île.

    Photos - La réserve naturelle de la presqu'île de la Caravelle - Guide  Tourisme & Vacances

    Par beau temps, il est même possible d'apercevoir la Dominique.

    Le phare dans les arts:

    En 2019, La Poste a émis un carnet de douze timbres à validité permanente intitulé « Repères de nos côtes » dans lequel figure le phare de la Caravelle.

     

    C'est à partir de ce timbre que j'ai retrouvé dans ma collection  et à ma curiosité que nous avons voyagé pour pas cher !!!!

    J'espère que ce petit dépaysement vous aura plu ..... et  non , je ne suis pas encore allée faire un tour en Martinique . 

     

     

    Bonne semaine - PicMix


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  • Bonjour,

    1er juillet 1903 : début du premier Tour de France cycliste

      Mis à jour le VENDREDI 1ER JUILLET 2022, par LA RÉDACTION de " ça m'intéresse"

    Créé par Henri Desgrange, directeur du journal L’Auto qui souhaitait augmenter les ventes de son quotidien, le premier Tour de France cycliste comporte 6 étapes s’étalant sur 19 jours, 21 coureurs finissant l’épreuve sur la soixantaine ayant pris le départ le 1er juillet 1903.

    La première étape n’était pas achevée que, dès le 2 juillet, L’Auto relatait le lancement de cet événement sans précédent et se félicitait du succès rencontré.

    Dans le numéro du 2 juillet 1903 de L’Auto, Henri Desgrange signe un compte-rendu des premiers instants de cette épreuve inédite à laquelle 80 coureurs s’étaient inscrits, cependant que 59 prirent le départ :

    « J’ai tâté leur courage à tous, quelques minutes avant le départ pour cet énorme Tour de France, avant la grande bataille qu’ils allaient livrer, et pas un ne m’a dit : J’ai peur que mes forces ne me trahissent, je crains que la tâche ne soit au-dessus de mes moyens. « Tous étaient pleins de confiance et dans leurs yeux brillait l’espérance de la. victoire. Et mon cœur de sportsman s’est réjoui au spectacle de ces courageux que le soleil auréolait d’une poussière d’or et devant qui la route allait s’étendre à l’infini, pendant des heures, pendant des jours, pendant des semaines.

    Henri Desgrange. Photographie extraite de La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports du 18 août 1901

     

    Henri Desgrange.

    Photographie extraite de La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports du 18 août 1901 Henri Desgrange. Photographie extraite de La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports du 18 août 1901

    « Là, je me suis pris à regretter le temps où, moi aussi, je courais les grandes routes, où je voyais, libre sur ma frêle machine, d’extraordinaires couchers de soleil, où je me perdais dans des nuits étoilées, où je me retrouvais le lendemain matin, grâce à moi, à moi tout seul, dans de nouveaux pays où le parler n’était plus le même, où les paysans, au passage, avec leurs yeux paisibles, semblaient se demander d’où venait celui-là qui sortait des ténèbres.

    « Mais à quoi bon rêver au passé, regretter ce qui n’est plus ? Tout a ses joies et il est bon de contempler en d’autres des énergies défuntes. L’heure présente est à l’action de ces hommes, et cela, somme toute, vaut largement la reconnaissance de l’U.S.A.P.F. par l’U.S.F.S.A. « Les voici maintenant un pied sur la pédale, l’autre jambe à terre. Le départ se fait lancé ; il sont bien sages et bien raisonnables ; ils se sont rangés docilement sous les ordres du starter et lentement les 60 partants se mettent en marche. Ils font ainsi 3 ou 400 mètres et le tournant de la route nous les cache.

    « Quelques minutes après je vois au loin un nuage de poussière qui se soulève à leur passage et ce nuage s’enfuit terriblement vite. La lutte est commencée, elle se terminera dans 19 jours. »

    Dans le même numéro de L’Auto, Alphonse Steinès, l’un des collaborateurs d’Henri Desgrange dans l’organisation du Tour de France, narre le départ de la première étape :

    « Le départ a été donné au Réveil-Matin. Ce nom sonne bien à l’oreille lorsqu’il s’agit d’une épreuve gigantesque, colossale comme le Tour de France. L’auberge du Réveil-Matin, encore ignorée de bien des cyclistes parisiens, est connue depuis hier au même titre que bien des endroits célèbres. Elle servit de scène à ce premier acte qu’est le départ du grand drame sportif dénommé Tour de France.

    « En quittant Villeneuve-Saint-Georges pour aller sur Montgeron, l’auberge du Réveil-Matin est située à l’intersection de la route de Corbeil par Draveil. J’avoue assez volontiers que ce site manque d’ombre, ce de quoi se plaignaient les milliers de spectateurs venus pour voir l’envolée du peloton qui s’élança à la poursuite de la gloire et... de l’argent. Mais telle qu’elle est, l’auberge désormais historique nous servit pour abriter notre contrôle.

    « Dès une heure de l’après-midi, heure à laquelle commencent les opérations consistant en remise des brassards, des numéros de cadres et signatures de contrôle, dès une heure, dis-je, il était impossible de trouver une chaise, tellement l’affluence était grande.

    « Des chanteurs ambulants exerçaient à droite et à gauche leur industrie et déclamaient par une chaleur insupportable des refrains divers. Les coureurs écoutent d’une oreille distraite, leur pensée vagabonde sur la route et ils entendent sans doute déjà les acclamations des populations du parcours. Pour le moment, ils font la sieste et sont étendus dans l’herbe, le ventre au soleil.

    « Le premier qui a l’honneur d’apposer sa signature sur la feuille de contrôle est Ellinamour de Paris, il retire le brassard numéro 64. Après lui vient Pernette, également de Paris, qui porte le n° 44. Les photographes de tous les journaux illustrés, armés des appareils les plus perfectionnés, sont présents et pigent les grands cracks. Parmi les chevaliers de la plaque sensible, nous reconnaissons les amis Simons, de La Vie au Grand Air, Beau, Schweitzer, de La Revue Sportive, etc. Chaque fois que vient signer un des rois de la route, tels qu’Aucouturier, Garin, Fischer, Muller, Pasquier, Wattelier, etc., la foule se précipite à leur suite et le contrôle est envahi.

    « Une douzaine d’amis de L’Auto, dont le dévouement est inépuisable, avaient assumé les très délicates fonctions de commissaires au départ et assuraient le service d’ordre, secondés par l’appariteur de Montgeron et la gendarmerie de Villeneuve-Saint-Georges. »

     

    L'itinéraire du Tour de France 1903. Illustration extraite de L'Auto du 1er juillet 1903

     

     

     L’itinéraire du Tour de France 1903.

    Illustration extraite de L’Auto du 1er juillet 1903 Alphonse Steinès ajoute que « le succès est complet et la proportion de partants remarquable,si l’on songe que dans Bordeaux-Paris qui n’a que 600 kilomètres, 23 coureurs se rangèrent au poteau de départ.

    « Le peloton se range en bon ordre. Je regrette que les photographies du départ que vous verrez dans les journaux illustrés ne reproduisent pas les couleurs des maillots, car ceux qui n’ont pas eu l’occasion d’assister au départ eussent au moins pu se faire une idée du coup d’œil curieux et bizarre que présentait ce départ. Deux couleurs tranchaient et attiraient les regards : le jaune des brassards que tous portaient au bras gauche et le rouge des numéros de cadre que le public appréciait comme une innovation attendue depuis longtemps. « Après un contre-appel, notre directeur fait aux concurrents d’ultimes recommandations, il leur rappelle plus particulièrement que les entraîneurs sont rigoureusement interdits, que sous aucun prétexte un coureur ne doit quitter son brassard et que le numéro du cadre doit toujours être en évidence afin de permettre de constater l’identité du concurrent par les innombrables contrôleurs volants qui sillonneront le parcours.

    « En raison des travaux de réfection de la route, le départ réel est reporté à environ cinq cents mètres du Réveil-Matin. Ces quelques centaines de mètres sont faites à une petite allure en très bon ordre. Au moment où le groupe passe devant lui, l’ami Abran lâche le coup de revolver traditionnel. Il est 3 heures 16 m. Ils sont partis et disparaissent dans un nuage de poussière. La foule applaudit vigoureusement. »

    Dans le numéro du lendemain 3 juillet, Henri Desgrange dresse un bilan de la première étape :

    « Voici courue la première étape du Tour de France. Le succès a dépassé toutes les prévisions et une fois de plus les coureurs ont dérouté les pronostics des plus compétents.

    « Personne n’eût osé croire, il y a quarante-huit heures, que des hommes livrés à eux-mêmes sur la. route, sans aucun soin, sans personne pour s’occuper d’eux autre part que dans les contrôles, passant la nuit dans des pays inconnus et difficiles, personne n’eût osé croire que ces hommes étaient capables de couvrir près de 500 kilomètres en moins de 18 heures à une allure supérieure à 26 kilomètres à l’heure.

    « Et pourtant rien n’est plus vrai. Ce fut un moment de stupéfaction sur tout le parcours ; les malins n’avaient-ils pas prédit qu’il faudrait au moins 24 heures aux coureurs pour se rendre-à Lyon ?

    « Quel beau début pour le Tour de France et comme nous sommes heureux de voir réussir une épreuve que nous avions jugée dès le début suprêmement intéressante.

    « Nous n’aurons pas assez de louanges pour le grand vainqueur Maurice Garin. L’énergie et les ressources musculaires de cet homme sont véritablement inépuisables. Les années semblent augmenter ses puissantes qualités et quand chacun doute, au moment du départ, s’il pourra refaire ce qu’il a déjà fait, Maurice Garin nous donne chaque fois la preuve qu’il est bien le meilleur et le plus redoutable de tous nos grands routiers.

    Maurice Garin, vainqueur des première, cinquième et sixième étapes, et vainqueur du Tour de France 1903.

    Maurice Garin, vainqueur des première, cinquième et sixième étapes, et vainqueur du Tour de France 1903. Photographie extraite de La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports du 24 juillet 1903

    Photographie extraite de La Vie au grand air : 

    Revue illustrée de tous les sports du 24 juillet 1903 Maurice Garin, vainqueur des première, cinquième et sixième étapes, et vainqueur du Tour de France 1903. Photographie extraite de La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports du 24 juillet 1903

    « D’une sobriété tout à fait remarquable en course, Garin peut rester plus de cent kilomètres sans rien prendre, son estomac est remarquable et c’est par là que son plus redoutable adversaire Aucouturier a péri. C’est cette belle santé qui fait de Maurice Garin une redoutable machine de résistance et une force irrésistible. Garin est encore admirablement secondé par MM. Hammond et Mouter, les directeurs de la Société La Française, dont il monte la marque. En voilà à qui il ne fait pas bon dire que Garin peut trouver son maître. Ils ont tous deux pour lui des attentions touchantes et la victoire de leur champion leur cause, comme à tous leurs amis, une joie sans mélange.

    « Et puis je m’en voudrais de ne pas féliciter aussi de la victoire de Garin l’ami Delattre, son manager au dévouement inaltérable. Jamais je n’ai vu quelqu’un prendre plus au sérieux les délicates fonctions qui consistent à préparer un grand champion à la victoire et à tout préparer pour que rien ne lui manque. »

    A l'arrivée dix huit jours plus tard ,le pari est gagné.Près de 20000 spectateurs attendent les coureurs au Parc des Princes .

    Le vainqueur Maurice Garin (1871-1957) empoche 12000francs , soit près de six années de salaire d'un ouvrier!

    L'édition spéciale du journal se vend à 130000 exemplaires . 

    Déjà quelques polémiques  apparaissent.

    La marque de cycles "la Française" pour laquelle court Garin n'a pas hésité à se livrer à quelques irrégularités , dépannages , ravitaillements illicites , changement de vélos devant lesquels les organisateurs ont fermé les yeux ....

    Récit emprunté au  magazine "histoire" Ça m'intéresse. 

     

    bon samedi à tous | Gif bonne journée, Joli sourire, Vélo image


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  • Ça y est , je suis enfin arrivée à rattraper les wagons et je participe pour la première fois au défi n°70...que

    Cathy ici

    gère de main de maître 

    J'ai raté le train plusieurs fois  mais là je crois que ça y est !!

     

    Je vous amène quand même faire un petit tour , 

    tout d'abord ...

    Porte  à Larressingle dans le Gers (32),  village fortifié ;

    Défi de Cathy ,

     l’un des Plus beaux et plus petits villages fortifiés de France. Murs d’enceinte, courtines, tours crénelées, fossé, porte d’entrée, château du XIIIe s, église fortifiée du XIIe s, maisons médiévales accolées aux murailles, le village vous reçoit tel qu’il était au XVIe siècle.

     

    Défi de Cathy ,

    Tours ,chez mon amie  Mirabelle..... 

    Je ne me souviens plus quelle est la porte de cet édifice  !!... dommage ; peut être quelqu'un pourra éclairer ma lanterne  ...

     

    Et pour finir cette porte se trouve à Saint Tropez 

    Défi de Cathy ,

    Elle est belle n'est ce pas ? cette personne ne nous dira pas le contraire ....

    Passez une bonne semaine et restez au frais , la chaleur des prochains jours va achever de griller nos jardins . 

    Une pensée pour nos amis de Gironde où là-bas c'est la désolation la plus totale .

    Défi de Cathy ,

    Bises d'Eglantine.

     

     

     

     


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    Arbres vous êtes les fleuves du ciel

    Vos feuilles sont des vallées vos brindilles des ruisseaux

    Les noeuds de vos branches des confluents de rivière

    Vos troncs majestueux se jettent dans la terre

    Arbres chaque hiver fait de vous l'espoir

    des vies qui nous attendent

    Chaque printemps vous rend victorieux sur la mort

    Vous faites palpiter l'espérance des cultures oubliées

    Vous êtes la référence des peuples dispersés

     

    Arbres carrefours des quatre éléments

    Tendus entre l'air et la terre

    L'eau coule de vos blessures

    De vos corps le feu fait jaillir sa morsure

     

    Arbres des générations d'hommes naissent

    et disparaissent pendant votre vie

    Vous êtes la sagesse face à la folie

    La durée devant l'éphémère

    Le stable devant le passager

     

    Arbres points de rencontre du sol et du ciel

    Du souterrain et de l'aérien

    De la taupe et de l'oiseau du caché et de l'exprimé

    De l'interne et de l'externe du corporel et du spirituel

    Gilles Servat.

     

     

     Voila un bel hommage rendu aux arbres  par ce troubadour !!!

    Connaissez vous le Hêtre de Saint Jammes?

    https://www.lejournaldici.com/sites/default/files/styles/width_750/public/hetrestjames.jpg?itok=gIvWkYbX

     

    Que ce soit pour sa taille, son âge, ou les légendes qui l'entourent, le plus bel arbre d'Occitanie est impressionnant sur tous les fronts.

    Ce bel hêtre de 450 ans se trouve à Sorèze dans la Montagne Noire. (au sommet de la colline).

     

    Chapelle et hêtre de Saint-Jammes - Ville de Sorèze

    Il reçoit beaucoup de visiteurs ....

    Avec ses trente mètres de hauteur et une circonférence de presque six mètres, on peut imaginer que c'est  le plus vieil arbre de la Montagne Noire .

    En chiffres, le hêtre c'est 5,80 m de circonférence ; 20 m de hauteur et environ 25 m d'envergure de frondaison .

      Un arbre  de légende ..

    Sur 450 années de vie, il a dû voir énormément de choses autour de lui!

    De son faîte aux racines, cinq siècles ont dessiné un vaste estuaire tendu « entre l’air et la terre ».

    Sa frondaison ruisselle de vie.

    Mais du majestueux tronc noueux aux vastes branches charpentières, ses mutilations et cicatrices racontent surtout 450 ans de combats contre le temps et les vents, le Cers et l’Autan.

    Contre l’homme, aussi, qui ne peut s’empêcher d’écorcher l’écorce au couteau pour y graver ses amours...

    L'arbre a été au centre de nombreuses légendes au cours de sa longue vie.

    Le Colosse est né au XVIe siècle sous les derniers des Valois et a peut-être vu passer vers 1650 Pierre-Paul Riquet cherchant dans la Montagne Noire l’eau de son canal du Midi, vu passer aussi ces pèlerins de Compostelle qui s’arrêtaient à la chapelle.

    Saint Jammes , c'est saint Jacques ici !

     

    On a retrouvé dans les archives beaucoup d'écrits.

    À savoir par exemple que cet arbre représentait un culte de la fécondité... lorsqu'on était en période de grossesse on venait frotter son ventre contre l'écorce de l'arbre.

    Là, on était sûr d'avoir un enfant superbe !

    Liseré d’or sur le vernis des feuilles et gris rosé du soir sur le tronc qui confèrent toute sa splendeur au hêtre.Force, énergie…

    Chez les Celtes, avec le chêne, l’olivier et le bouleau, il était l’un des quatre piliers de l’année solaire.

    Le hêtre de Saint-Jammes symbole du cycle de la vie : outre sa propre régénérescence, il a autrefois nourri de ses faînes les troupeaux et continue à servir d’abri aux petits animaux, aux oiseaux.

    Durant deux siècles,  il a aussi été témoin des baptêmes, mariages et enterrements célébrés par le curé de Durfort, avant la destruction de la chapelle à la Révolution..

    Chapelle et Hêtre de Saint-Jammes à Sorèze - Tarn Tourisme

    Ce qu'il reste de la chapelle St Jammes de Bézaucelle, des bénévoles sont en train de la reconstruire  .

    La  longévité de l'arbre serait dû à son emplacement : au beau milieu d'un cimetière, rien n'a jamais empêché les racines du grand hêtre de se propager librement.

    Seul défaut du magnifique spécimen : son propre poids, qui le tire vers le bas.

    Des béquilles en métal ont dû être posés pour soutenir le vieil arbre, "comme pour tout vieillard !" 

    https://www.lechorepublicain.fr/photoSRC/Gw--/le-gros-chene-de-meauce-participe-au-concours-l-arbre-de-l-a_5011002.jpeg

     

    Cet arbre a été "élu"  Arbres remarquable en 2019 . 

    Depuis les touristes viennent l'admirer d'un peu trop près et on a dû le protéger en installant des palissades .

     

    Ombre XXL garantie , je vous laisse prendre le frais et admirer le paysage.

    Arbres


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    TCHIN TCHIN !!!

    Tout le monde à chaud , très chaud , on nous dit aussi  de ne pas oublier de boire ...... beaucoup ;

     mais savez vous d'où vient cette expression ? 

    Expression chinoise à l'origine, «qing qing» (prononcer «tchin-tchin»), pouvant se traduire par «je vous en prie», était une formule utilisée pour inviter quelqu'un à boire.

    L'expression proviendrait de «tsing tsing» qui signifie «salut» en pidgin de la région de Canton, en Chine  

    Une expression venue de Chine

    "Si on pourrait penser que cette expression vient du bruit provoqué par le choc entre deux flûtes, il n'en est rien.

    En 1900 lors de la campagne de Chine, un contingent de soldats français se trouvent dans la région de Canton.

    Pour inviter des gens à boire, on dit à l'époque 'je vous en prie', ou en version originale 'tchin tchin'.

    Une fois de retour au pays, ces soldats gardent cette façon de trinquer et lancent une mode.

    En Chine, pour dire 'tchin tchin' on dit Gānbēi, tandis qu'au Japon c'est Kanpai.

    en occitan on se contente de dire "santat" ce qui veut dire"santé"

    Pourquoi on trinque ? 

    Pour comprendre l'origine de ce geste dont on peut questionner l'utilité, il faut remonter au Moyen-Âge, époque où les empoisonnements étaient légion.

    On trinquait donc violemment pour que les deux liquides se mélangent.

    C'est d'ailleurs la même raison qui poussaient les gens à se regarder dans les yeux en buvant la première gorgée : empêcher qu'un poison soit versé dans le verre." 

    acclamant avec cocktails - trinquer photos et images de collection

     c'est les bulles que je préfère...

     

     

    tchin ! deux verres à champagne - trinquer photos et images de collection

     

     L'alcool est à consommer avec modération.

    Résultat de recherche d'images pour "images tchin avec deux bouteilles d'eau"

    L'eau c'est très bien aussi pour se désaltérer. !!!

    et tchin tchin...

    Bon dimanche .

     

    D'où vient cette expression?

     


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    Apprendre les bonnes manières

     

    Bonjour, 

    Histoire de l'éventail . 

    En fonction des régions et des époques, ce langage unique en son genre a vu plusieurs déclinaisons et subtilités qu’il serait difficile de faire ressortir ici et de lister de façon exhaustive. A bien y réfléchir, les différentes postures et mouvements qui accompagnent le langage des éventails, sont le fruit de la spontanéité des femmes qui utilisaient cet accessoire à chacune de leurs sorties, un peu à la manière des sacs à mains du XXIe siècle. Bien plus qu’un simple objet pratique qui permet de se ventiler, l’éventail est un véritable symbole des différentes cultures et pays du monde.

     

    Image illustrative de l’article Éventail

     

     

     
    Éventail de type écran, de Yi Yuanji (1000–1064), dynastie Song.

    L'éventail est un objet utilisé pour induire un courant d'air dans le but de se rafraîchir ou d’attiser les braises d’un foyer.

    Sous sa forme universelle, il est un écran rigide avec un manche. Le plus souvent, en France, l'éventail renvoie à un accessoire de mode de la forme d’un demi-disque dont la feuille est faite de matériaux légers (tissu, cuir, papier, etc.) plissés et montés sur des brins qui pivotent autour d'un axe (appelé « rivure »), permettant ainsi à l’objet de se fermer pour diminuer son encombrement et être transporté aisément.

    L'usage des éventails est attesté dès l'Antiquité . Ils ont été et sont encore utilisés non seulement pour s'éventer, mais aussi comme vecteurs de messages, objets publicitaires ou de propagande politique, accessoires de mode, de danse ou de théâtre, etc.

    Un autre dispositif portatif qui permet de se préserver de la chaleur uniquement rayonnée par le Soleil est l'ombrelle.

     

     
    Éventail brisé, lames de bois de santal ajouré, Chine, 1870
     
    Éventail de plumes de paon . Day Dreams, peint par John William Waterhouse
    • l'écran fixe ou écran à main, avec manche et feuille en carton ou en vannerie de forme de drapeau (en Italie  au xve siècle et encore actuellement dans le monde arabe) ;
    • l'éventail formé d'un manche réunissant des plumes ou feuilles de végétaux (tel un modèle trouvé dans la tombe de Toutânkhamon) ;
    • l'éventail utilisé dès le Haut Moyen Age et conservé sous forme de flabellum liturgique par l'église chrétienne ;
    • l'éventail brisé, où des lames d'ivoire, nacre, bois ou autre matériau dur s'ouvrent autour d'un axe (rivure), réunies près de l'autre extrémité par un fil ou un ruban ;
    • l'éventail de plumes montées sur des brins réunis par un fil, ou, dans la même veine, l'éventail palmettes, dit « Jenny Lind », où des « palmettes » en carton ou en tissu remplacent les plumes ;
    • l'éventail plié, où les « brins » de matériau dur (avec aux extrémités des « panaches » protecteurs plus importants) servent de support à une feuille en papier, peaux de diverses natures, dentelle ou tissu (plus tardivement) ; les éventails pliés sont les plus répandus ; comme les éventails brisés, ils trouvent leur origine en Chine.

     

     
    Schéma d'un éventail.

    La fabrication d'éventails fait appel à des dizaines de corps de métier et d'artisans : peintres brodeurssculpteursgraveursennoblisseursplisseurs, etc. L'éventailliste peut d'ailleurs être en France reconnu comme maître d'art, et certaines maisons y ont reçu le label « Entreprise du patrimoine vivant », marque du Ministère de l'Économie, des Finances et de l’Industrie, mis en place pour distinguer des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence.

    En France, le savoir faire des éventaillistes est inscrit à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel français depuis 2020.

     
    Tanagra représentant une femme avec son éventail, ive siècle av. J.-C.

    En Chine, les premiers écrits sur les éventails datent de la dynastie Jin (265-420).

    Les premiers éventails, appelés fanzi (扇子shànzi) étaient rigides et en plumes. Le caractère chinois désignant l'éventail est composé du caractère de la demi-porte () et du caractère des plumes ()1,2. Au iie siècle déjà, le bambou était utilisé pour la fabrication de la monture. Parmi les matériaux traditionnels des bambous en Chine, on trouve du bambou, de l'ébène, de l'ivoire, des écailles de tortue, de la soie, du papier, des feuilles d'or, des plumes, différents métaux et du tournesol.

    Il existe en Chine deux formes, l'une rigide dont la partie contenant le papier est entre le rond et le carré et un plié, la forme la plus répandue de nos jours. Il existe une version brisée dont les brins sont parfois faits en bois de santal. Ce dernier à le double avantage d'être parfumé, et, lorsqu'il est laissé dans les placards la nuit, de chasser certains insectes nuisibles.

     

    En Égypte antique, le pharaon était protégé des mouches par un éventail confectionné en plumes ou en feuille monté sur une hampe et porté par un courtisan, de nos jours appelé flabellifère, à partir du nom latin de l'éventail (''flabellum'').

    Dans les tombes de pharaon sont retrouvés ces flabella qui dit-on, redonnaient le souffle au défunt.

    En Grèce antique, l'éventail, connu sous le nom de rhipis dès le ve siècle av. J.-C., était un simple écran à manche, ordinairement en forme de feuille d'arum ou de palmier.

    Les Étrusques et les Romaines empruntèrent cet accessoire de mode aux femmes grecques.

    Au Japon, la tradition chinoise est reprise. Il y a donc également deux sortes d'éventails, le sensu (扇子?) ou simplement ôgi (?) qui se plie et l’uchiwa (団扇?) en bambou de forme ronde et qui ne se plie pas. L'inventeur du sensu au viie siècle se serait inspiré des ailes des chauve-souris.

    Le flabellum, éventail cérémoniel, réapparaît en Europe au ive siècle pour un usage liturgique : les flabella, chasse-mouches constitués de fines membranes, de peau plissée (tel le flabellum de Tournus daté des années 850), de plumes du paon, de drap fin, ou plus rudimentairement en crins de cheval.

    Les éventails à manche auraient été (pour un usage profane) réintroduits en Europe par les Croisés au xiie siècle. Les éventails « pliés » qui se ferment sur eux-mêmes et peuvent se déplier en demi-cercle sont importés en Europe au milieu du xvie siècle par les commerçants portugais revenus du Japon. Introduit en France sous sa forme moderne par Catherine de Médicis, objet favori d'Élisabeth Ire d'Angleterre, il connut un important développement en Europe aux xviie et xviiie siècles.

    Produit essentiellement en France, en Angleterre, aux Pays-Bas, en Italie et plus rarement dans l'espace germanique, ce fut d'abord un objet aristocratique et artistique, reprenant les sujets (mythologiques et bibliques surtout) de tableaux connus, tant sur les feuilles que sur les montures d'ivoire, de nacre ou d'écaille.

    L’éventail devint un allié des relations amoureuses et grâce à son langage muet, les amants déchiffraient le message que leurs dames leur envoyaient. À la fin du siècle, des manuels ont été publiés pour enseigner aux femmes le langage de l’éventail. Charles Francis Bodini publia en 1797 l’ouvrage Le Télégraphe de Cupidon, dans lequel il établit un véritable alphabet. Mais, malgré tout cet essor, au début du siècle, il n’existait pas encore de modèle établi sur le commerce et la fabrication des éventails.

     
    Détail d'un éventail à feuille du xviiie siècle et monture vers 1840

    Les sujets devinrent souvent moins recherchés avec les bergerades (éventails à feuille rehaussée de scènes de bergers galants) de la fin du xviiie siècle, la qualité moindre minorant le prix et facilitant la diffusion de l'objet dans la classe moyenne.

    Il devint même populaire grâce aux techniques d'impression (et parfois même vecteur de propagande politique avant et pendant la Révolution). C'est à cette période qu'il disparut presque en France, pour ne réapparaître qu'avec plus de vigueur après 1830, connaissant un second âge d'or pendant le Second Empire et atteignant sa taille maximale vers 1890.

    Certains marchands d'éventails (notamment la maison Duvelleroy) ont inventé au xixe siècle un pseudo « langage de l'éventail » très élaboré et codifié. Il s'agissait d'un outil marketing et aucune trace de ce prétendu langage ne peut être trouvée au xviiie siècle.

    Toutefois les scènes figurant sur les éventails participent à la communication sociale, de même que la gestuelle de son maniement, en particulier à la Cour.

    Cet objet est quelque peu tombé en désuétude pendant l'entre-deux-guerres, hormis en tant qu'objet publicitaire (parfois d'excellente qualité) et hormis aussi dans quelques pays comme l'Espagne, où la fabrication s'était établie moins d'un siècle plus tôt.

    Il continue d'accompagner quelques personnages iconoclastes. Moyen élégant et écologique de faire face au réchauffement climatique, il connait cependant au début du xxie siècle un regain de faveur, et divers créateurs réapparaissent notamment en France.

     
    Meuble héraldique japonais

    En Orient, même s'il fut aussi fabriqué au goût européen dès le xviie siècle, il est resté un élément essentiel de l'art de vivre et de la culture.

    Les plus grands peintres chinois ou japonais l'ont utilisé comme support pour leurs œuvres. Objet indissociable des rites traditionnels de la Chine et du Japon, l'éventail est un accessoire fondamental dans le théâtre japonais  ou kabuki, dans l'art narratif rakugo, dans la danse traditionnelle, de même que dans certains arts martiaux.

    Les premiers exemplaires connus ont la forme d'un écran rigide, fait de plumes et de soie et l’utilisation de la peinture apparaît au ve siècle apr. J.-C.

    À la même époque l'écran naît au Japon où, comme en Chine, il était utilisé pendant les cérémonies jusqu'au xiie siècle.

    L'éventail plié fait son apparition pendant la période Heian (794-1185). Son usage était strictement limité à la cour et était utilisé soit par les hommes soit par les femmes, sa fonction principale n’était pas exclusivement de se rafraîchir, mais il servait aussi pour différents buts, par exemple il était très utilisé pendant des spectacles de danse traditionnelle.

    Au xe siècle on considère l’éventail officiellement répandu dans toutes les régions chinoises et il prenait également des formes et styles différents dans les différentes parties géographiques.

    Depuis le moment où en Chine la peinture commence à décorer très souvent ces accessoires (pendant le ve siècle) elle va devenir une influence importante pour les éventails japonais, notamment dans les peintures de paysage dont on utilisait une esthétique fondée sur la mimesis.

    Successivement la Chine et le Japon vont être influencés par le modèle Coréen d'écran à double feuille et à brins multiples.

    Pendant les xve et xvie siècles au Japon on fabrique des éventails à monture de fer utilisés comme objet de guerre pour « transmettre des signaux »10 pendant la bataille. Son usage se répand dans tous les autres classes sociales japonaises pendant la période Edo (1615-1868).

    Pendant le xviie siècle, la Chine exportait des éventails ou leurs simples supports pour les vendre aux Européens, en adaptant les types et les motifs décoratifs selon leur demande.

    Le grand commerce d’éventails dans le monde européen va provoquer un abaissement de qualité, surtout au Japon à partir du xixe siècle. Pendant le siècle suivant l’usage de cet objet fascinant disparaît de la vie quotidienne de la plupart des Occidentaux, tandis qu’il restera en Orient un objet traditionnel.

     
    Gongfu de l'éventail en Chine

    L'éventail est aussi utilisé comme arme dans certains arts martiaux chinois. Il est ainsi présent dans le taiji shan (太极扇), art martial lié au tai-chi-chuan (ce dernier étant pratiqué à main nue), ou dans la danse traditionnelle chinoise.

     
    Gunsen

    Pendant le Moyen Âge au Japon, le chef de guerre (le shogun) portait un gunsen (littéralement « éventail de guerre ») : ce type d'éventail avait une monture forgée en acier et servait à la fois de signe de ralliement et de direction des troupes (brandi ouvert), et à la fois de garde et de protection (une fois fermé) lors d'un combat au sabre. Le tessen, de forme plus européenne, était plutôt réservé aux femmes.

    Histoire de l'éventail....

    Maintenant que vous avez quelques notions de Chinois et de Japonais il va falloir retenir le langage de l'éventail ....et apprendre les bonnes manières !!!

    Ça a l'air assez simple ... a condition de pratiquer  souvent ....

     

    – Le passer d’une main à l’autre : « Je sais que tu regardes une autre »

    – Le mettre devant le front : « Ne m’oublie pas »

    – Toucher avec le doigt le bord de l’éventail : « Je veux te parler »

    – Se taper la paume de la main avec : « Aime-moi »

    – Bailler derrière l’éventail : « Tu m’ennuies »

    – Mettre un doigt devant le voilage : « Je t’aime encore plus chaque jour »

    – Fermé dans la main droite : « Je cherche un fiancé »

    – Fermé dans la main gauche : « Je ne suis pas célibataire »

    – Porter l’éventail à son cœur : « Je t’appartiens pour la vie »

    – Le laisser tomber : « Je suis tienne »

    – Le faire battre très rapidement : « Je t’aime beaucoup »

    – Prendre l’éventail par la partie supérieure : « Tu me laisses indifférente »

    – Menacer de l’éventail fermé : « Ne soies pas trop audacieux »

    – L’éventail sur le cœur : « Je t’aime »

    – Le taper avec un autre objet : « Je m’impatiente »

    – Se couvrir une partie du visage avec : « Nous sommes surveillés »

    – Se couvrir les yeux avec : « Je suis désolée »

    – Appuyer l’éventail sur la bouche : « Embrasse-moi ».

     

    Quelle histoire cet éventail ...!! tout ça pour avoir juste  un peu d'air frais !!!

    Le temps de tout décrypter on a le temps de s'étouffer ...

    Bonne semaine .

    Apprendre les bonnes manières

     


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